Commission historique du Nord
SÉANCE DU LUNDI 18 février 2013
AUX ARCHIVES DÉPARTEMENTALES DU NORD
SOUS LA PRÉSIDENCE DE Philippe MARCHAND
 

 
 
 
Communication
 
de M. Jean-Claude HOCQUET
 
Le négociant lillois Briansiaux, propriétaire de salines à Cervia (Italie) au xixe siècle
 
Né en 1769 à Dunkerque, François-Charles Briansiaux fut dans sa jeunesse confronté à des difficultés financières et comprit que son avenir n’était pas auprès des siens, il gagna Lille en 1792 après la levée du siège de la ville par les Autrichiens. Dans cette grande place du négoce, appelée à devenir un carrefour économique de l’Empire napoléonien, il fonda une maison de commerce qui étendit ses activités à tout ce qui s’achetait et se vendait, avant de diversifier ses activités vers l’assurance, le courtage et l’armement maritime, la fourniture militaire, enfin l’escompte et la banque. La croissance fut rapide et sous l’Empire, Briansiaux était considéré comme le principal négociant de la place de Lille, disposant d’une fortune en capital estimé à 600 000 F, lui-même évaluant son « capital » commercial à près de 750 000 F et son actif total à près d’1,3 million de F en 1811. Soucieux de préserver sa richesse des aléas de la fortune, il investit dans la propriété immobilière, son hôtel particulier à Lille, et foncière : son patrimoine se composait d’une belle ferme à Nomain, et du grand domaine de Saint-Augustin, dans le Pas-de-Calais, auquel il consacra une part croissante de son temps et de son activité dans les dernières années de sa vie.
 
Dès 1810, François Briansiaux fut aussi engagé dans des affaires de sel dont son livre de comptes donne une idée de l’importance sans en laisser soupçonner la nature. Était-il fournisseur aux armées napoléoniennes ? Avait-il acquis un monopole de la fourniture dans le Nord de la France et dans les départements de l’actuelle Belgique ? Livrait-il du sel à la naissante industrie chimique de la région lilloise qui utilisait le procédé Leblanc de fabrication de la soude ? De 1810 à 1815, son chiffre d’affaires dans le négoce du sel passa de 7 903 F à 13 042 F et la Restauration ne compromit pas cette lucrative activité qui atteignait en 1816 près de 50 000 F.
 
De 1817 à 1819, il semble avoir abandonné ce champ d’activité et ne perçut plus sur son compte du sel qu’une somme fixe de 1200 F. On peut alors légitimement se poser la question : n’aurait-il pas été, durant la domination napoléonienne, administrateur des sels de Cervia ce qui lui aurait permis de rencontrer François Botti, propriétaire de salines à Cervia, dont il fit son régisseur ?

Briansiaux et l’acquisition de salines à Cervia
 
François Briansiaux avait confié son domaine de Saint-Augustin en gérance à l’italien Francesco Botti qui accumula les déficits d’exploitation et se trouvait débiteur en juillet 1819 de 31 998,29 F. Lors d’un arbitrage, la dette fut reconnue s’élever à 35 000 F. Pour solder cette dette, la dame Botti vendit à Briansiaux en toute propriété la portion de biens appartenant à son mari dans les salines situées à Cervia, district de Ravenne en Italie. Les salines, selon la dame, étaient affermées  2200 francs par an, exempts d’imposition, à M. Bottoni de Ferrare et elles n’étaient grevées d’aucune hypothèque. Briansiaux transformait ainsi sa créance en une rente de 6,285 % l’an.
 
Sur un plan de l’établissement salin de Cervia au xixe siècle, on observe que les salines méridionales entourent une île où était édifié le bourg médiéval de Cervia abandonné au xviie siècle pour cause d’insalubrité (en italien : malaria, le mauvais air) et forment un camaïeu irrégulier et même désordonné. Les salines du fonds Botti et celles du fonds Gesuati plus au nord affichent une disposition géométrique le long des canaux d’alimentation qui indique probablement des aménagements récents, contemporains des Lumières, ou la restructuration et la modernisation de salines anciennes. Le plan de la villeneuve de Cervia affiche une régularité géométrique caractéristique des bourgs du sel.
 
Le fonds Botti avait été légué aux trois frères, Francesco, Lazzaro et Girolamo par leur père. La modernité de ces salines et leur nom même, Botti, renforce l’hypothèse d’une construction récente.
 
Comment Briansiaux allait-il gérer son nouveau bien si éloigné ? Les précédents fermiers des salines Botti, Franceschi et Bottoni, avaient été expulsés et remplacés par le français Laplanche qui ne montrait pas beaucoup de zèle à payer ponctuellement ses arrérages de rente. Le neveu de Briansiaux Morel qui résidait à Milan, empêché par sa santé, lui dépêcha son associé Fabrigi à Bologne pour obtenir les comptes du fermier. Laplanche devait à Briansiaux 3700 F dont il se serait ainsi acquitté : il aurait fait une remise de 3000 F à Briansiaux sur Marseille et le solde, 600 à 700 F, par un courrier successif, en attendant une nouvelle répartition qui devait se faire vers la fin octobre.
 
Briansiaux vieux et  malade songeait à se défaire de ses salines en les vendant, mais trois obstacles inattendus surgissaient : la veuve Botti, belle-sœur de François Botti qui avait cédé les salines à Briansiaux, détiendrait une hypothèque ; les anciens fermiers Franceschi et Bottoni ont intenté un procès à leur ancien bailleur ; la Chambre Apostolique songerait à abandonner l’exploitation du sel à Cervia pour favoriser ses salines d’Ostie, proches de Rome. Il serait dans ces conditions difficile de trouver acquéreur.
 
Après le décès de Briansiaux, son exécuteur testamentaire, l’avocat lillois Doyen écrivit à Laplanche qui, dans sa réponse, rappela le vœu de François Briansiaux de vendre les salines, mais les amateurs en offraient un prix bien inférieur à la valeur du capital d’achat (35 000 F), ce qui n’avait rien de surprenant : le ministre des finances du pape faisait tout pour ruiner les salines de Cervia, propriétés de particuliers, afin de favoriser les salines de Comacchio et d’Ostie, propriétés du saint Père (en réalité de la Chambre apostolique). Vivement que ce ministre devienne cardinal et abandonne sa fonction actuelle concluait Laplanche.
 
Finalement les héritiers renoncèrent à vendre, pour éviter les complications dans une situation confuse où chacun se trouvait devoir de l’argent à tout le monde. Les biens de François Briansiaux, tenancier à la mensa épiscopale (le temporel de l’évêque) de Cervia, passèrent successivement à ses filles : Françoise Joséphine Hortense et Adeline Joséphine qui héritèrent du statut paternel (tenancières), l’une d’elles épousa François de Montbrun qui décéda avant l’année 1885 et eut une fille prénommée Marie-Louise qui épousa Louis Anatole de la Prade demeurant à Paris. Le 22 mars 1891, les biens de Cervia passaient à Marie-Louise Montbrun, veuve de Louis Anatole de la Prade.
 
Exploitation des salines et récolte de sel
 
L’exploitation des salines donne des résultats aléatoires, plus que toute autre récolte. La production de l’ensemble de l’établissement salin de Cervia était sujette à des variations annuelles que l’on peut mesurer pour un cycle de sept années mais on peut aussi observer des variations entre salines au cours d’une même année (1836). La variation annuelle est allée du simple au triple en l’espace de deux années : 1 068 266 corbeilles furent récoltées en 1834, année exceptionnelle, et seulement 354 512 corbeilles deux années plus tard. En 1834, les salines du fonds Botti ont procuré d’excellentes récoltes : 14 métayers ont apporté aux magasins 86 771 corbeilles de sel, en 1836, ces mêmes salines de Briansiaux ont donné 23 904 corbeilles de sel. De 1853 à 1861, l’héritage Briansiaux, tenu par Adèle, a produit au total 274 044 corbeilles de sel, soit une moyenne annuelle de 30 450 corbeilles : quatre années ont approché cette production, entre 30 et 40 000 corbeilles, deux ont dépassé les 40 000 corbeilles.
 
La Chambre Apostolique abattait une tare de 11 % avant de procéder à une répartition 1/3 – 2/3 entre le propriétaire et ses métayers. Les deux années 1858 et 1859 ont été largement déficitaires, deux sauniers seulement ont alors récolté du sel, les autres semblent avoir déserté les salines pour répondre à la mobilisation italienne contre l’Autriche-Hongrie et pour la guerre de libération nationale (1859 avec l’appui des armées impériales de Napoléon iii) qui réunit les provinces pontificales au jeune royaume de Victor-Emmanuel. Les récoltes ont évolué entre un maximum de 58 529 corbeilles en 1854 et 6133 en 1858.
 
 François Briansiaux était un grand propriétaire absentéiste, le seul compte de sa gestion conservé pour Cervia indiquait :
 
1820 Salines de Cervia doivent 35 871,20 F (ce qui est la valeur du capital ou prix d’achat en 1819) et Sel pour mon compte 1200 F
1821 Sel pour mon compte 1200 F et Salines de Cervia 35871,20 + 171,26 en sept-octobre et solde positif de 36042,45.
 
L’information est assez maigre : on peut avancer que, par le biais des fermages, il échappait aux variations climatiques (intempéries et déficit saisonnier de la production) et jouissait d’un revenu fixe annuel de 1200 francs qui fut transmis à ses héritières successives jusqu’en 1909-1910 quand le royaume d’Italie intégra les salines dans le domaine public et constitua un monopole absolu des salines et du sel.
 
La recherche est fondée sur les papiers Briansiaux déposés à Roubaix (Archives du Monde du Travail) et sur une recherche originale et inédite accomplie dans les Archives de la Commune de Cervia et à l’Archivio di Stato de Ravenne.
 
DISCUSSION
 
Vivement applaudie, la communication de M. Jean-Claude Hocquet est suivie d’une longue discussion dans laquelle interviennent M. Gérard Janssen (voir le résumé de son intervention), M. Bernard Delmaire, Mlle Christiane Lesage, M. Stéphane Mathon, M. Philippe Marchand.
 
Gérard Janssen : À propos des Briansiaux
 
Les descendants lillois des couples Briansiaux (Jules-César-Scrive épousa à Lille en 1836 Emilie Briansiaux, et Henri-Amédée Joseph Scrive, frère du précédent, épousa à Lille en 1841 Sophie-Joséphine-Caroline Briansiaux, sœur de la précédente), croient pour la plupart en la noblesse des Briansiaux et leur appartenance à la parentèle de Jean Bart. En fait, ils descendent de Philippe-Jacques Briansiaux, né à Dunkerque en 1729, négociant (non noble, petit-fils d’un jardinier de Gravelines), frère de Jean-Louis Briansiaux, seigneur de Milleville, négociant, anobli en 1760 par achat d’une charge de conseiller-secrétaire du Roi, puis en 1765 pour ses activités d’armateur (il fut également décoré de l’Ordre de Saint-Michel).
 
Philippe-Jacques épousa Florence Viguereux, fille d’un premier échevin de Furnes, nièce de Marie-Catherine Viguereux qui épousa le vice-amiral François-Cornil Bart, fils de Jean...
 
À Lille, on peut voir trois monuments portant les armes de Jean-Louis Briansiaux (reprises par les descendants de son frère) : le portail de l’hôtel d’Hailly d’Aigremont, une verrière offerte par la famille Scrive à l’église Saint-Maurice et une plaque commémorative dans la crypte de la cathédrale Notre-Dame de la Treille. Il y avait autre fois un quatrième écu Briansiaux visible rue du Vieux Faubourg.
 
IN MEMORIAM

claudine Wallart
 

Claudine WALLART nous a quittés le  le 5 février 2013. Née à Seclin le 1er décembre 1949, élève de l’Ecole des Chartes, elle y avait soutenu sa thèse sur le sujet suivant : Pauvreté et assistance dans le district de Douai sous la Révolution (1788-an V).   Claudine avait commencé sa carrière comme archiviste municipale à Créteil (Val de Marne). Le 1er juillet 1976 elle était nommée comme conservateur aux Archives départementales du Nord. Elle y fit toute sa carrière, prenant sa retraite le 6 décembre 2010. Elle avait été nommée conservateur en chef du patrimoine en 1999. Outre son activité d’archiviste, Claudine avait participé à de nombreuses publications -catalogues d’expositions, dossiers pédagogiques, guide de sources-  relatifs en particulier aux deux conflits mondiaux. Elle avait coordonné le Florilège des Archives départementales du Nord publié en 2000. Elle nous avait fait connaître les Carnets d’un patron lillois, Jules Émile Scrive. Ses travaux lui avaient valu d’être nommée dans l’ordre des Arts et Lettres et dans celui des Palmes académiques.
 
Claudine s’était aussi impliquée dans les travaux d’extension-restructuration du bâtiment d’accueil du public et des bureaux. Elle avait également suivi de près l’opération de construction du nouveau dépôt.
 
Entrée à la Commission Historique en 1976, elle en avait été la secrétaire très active de 2002 à 2009 (préparation des réunions mensuelles, des journées foraines, des tomes 53 et 54 du Bulletin de la Commission). Elle nous avait donné son accord pour organiser la journée foraine 2013.
 
La Commission Historique du Nord, profondément touchée de la disparition de Claudine, présente ses sincères condoléances à Manon et à Robin, ses enfants.
 
PUBLICATIONS
 
Tirés à part
 
Florent VANREMORTERE, « Le devoir de mémoire » dans Bulletin du Comité Picard, n° 103, hiver 2012-2013, p. 19-23.
 
Revues
 
Bulletin du Comité Flamand de France, n° 95-96, décembre 2012
Jean-Pierre POPELIER, « L’évolution de la population d’Halluin dans le cadre de l’immigration belge dans le Nord »
Gérard JANSSEN, « Le dernier seigneur d’Halluin »
Christiane LESAGE, « Halluin et les églises Saint-Hilaire d’après leurs plans successifs »
Daniel DELAFOSSE, « L’abbé Alphonse-Marie Coulon, le curé bâtisseur de la paroisse du Mont »
Association de Kapelle, « Histoire des chapelles d’Halluin »
Daniel DELAFOSSE, « Monsieur Paul, une figure halluinoise »
Philippe MARCAILLE, « La restauration de l’orgue de l’église Saint-Hilaire »
Jean-Pascal VANHOVE, « Henri Bonte (1871-1945), un Halluinois maire d’Hazebrouck »
Jean-Paul COUCHÉ, « L’actualité de l’enseignement du flamand »
Archives municipales et paroisse Saint-Hilaire, « Les vitraux de l’église Saint-Hilaire »
Jean-Louis MARTEEL, « Le flamand des dictons et des proverbes de Joseph Dezitter »
Jean-Pascal VANHOVE, « Hommage à Christiane Lesage »
Raymond SELLIER, « La seigneurie du bois de Nieppe et château de La Motte-au-Bois et les douairières de Flandre (2) »
 
Lille simplement, Bulletin de l’Association des Amis de Lille numéro 3, décembre 2012
Eusébia GARIT, « Les établissements Agache : histoire d’une puissance industrielle »
Maxime CACHEUX, « Libraires et imprimeurs en Révolution dans le ville de Lille »
Christiane LESAGE, « Un vestige du Vieux-Sauveur va disparaître. La rue du Bois Saint Sauveur »
Philippe MARCHAND, « Le Poète et le Musicien, Charles Manso, Oscar Petit, six chants scolaires »
Gérard JANSSEN, « Les éléments armoriés de l’église Saint-André de Lille »
 
Flandre-Hainaut Généalogie et Histoire, n° 116, décembre 2012
Parmi les nombreux articles
Daniel DEVRED, « L’industrie du sucre à Abscon »
Maryse BOUDARD et André CRASQUIN, « Le calendrier républicain »
Revue du Nord, N° 396, juillet-septembre 2012
Le cadastre, de la mesure des parcelles foncières aux usages contemporains de la recherche (textes réunis par Matthieu de OLIVEIRA)
Ce numéro est le résultat d’une journée d’études qui s’est tenue le 23 mars 2010 à l’initiative de Rosine CLEYET-MICHAUD, directrice des Archives départementales du Nord. Participaient à cette journée des historiens, mais aussi des géographes et des archéologues qui « tous sollicitent les documents cadastraux dans le cadre de leur pratique professionnelle et en font un usage spécifique qui rend bien compte de leur richesse sans cesse renouvelée ».
 
Articles
 
Matthieu de OLIVEIRA, « Le cadastre du Nord, entre ambitions nationales et mise en œuvre locale (premier XIXe siècle) »
Philippe GUIGNET, « La répartition du sol dans les 650 communes du Nord au moment de la confection du cadastre dit « napoléonien »
Bram VANNIEUWENHUYZE, «  Les plans de villes de Jacques de Deventer (XVIe siècle). État de la question et pistes de recherche »
Nathalie BARRÉ, « Le cadastre à l’épreuve de la croissance d’une ville textile : Tourcoing au XIXe siècle »
Magalie FRANCHOMME, Guillaume SCHMITT, «Les zones humides du Nord vues à travers le cadastre napoléonien : les Systèmes d’Informations Géographiques comme outil d’analyse »
Angélique SERGENT, avec la collaboration d’Étienne LOUIS, « Cartes et cadastres anciens : la documentation figurée au service des archéologues ? La Z.A.C. de Lauwin-Planque  (Nord) à l’épreuve de ses représentations »
 
Document
 
Matthieu de OLIVEIRA (présenté par), « Précis du mémoire sur les moiens de procéder à la répartition de la contribution foncière des terres arables de la manière la moins inégale possible »
Matthieu de OLIVEIRA, « Sources et bibliographie du cadastre (du Nord et du Pas-de-Calais) »
 
 
ANNONCE DE PUBLICATIONS
 
Le Cercle d’Etudes en Pays Boulonnais annonce la publication de l’ouvrage suivant: Isabelle CLAUZEL-DELANNOY, Marcel FOURNET, Michèle FOURNET-LEMAIRE, Le Livre Verd de Boulogne Volume 2 : 1600-1675. Prix de souscription jusqu’au 16 mars : 18€. Après le 16 mars : 22€.
 
Thomas DEREGNAUCOURT, La Mer de Flines. Dans cet ouvrage, l’auteur, membre fondateur de Flines au Fil de son Histoire, donne le résultat de trois années de recherches sur le terrain,  dans les Archives départementales du Nord, dans les travaux des spécialistes, archéologues, historiens et géologues, sur les légendes qui entourent cet étang situé au cœur de la commune de Flines-les-Râches. Il se propose de faire le tri entre le mythe et la réalité.
 
INFORMATIONS
 
Les Amis de Lille organisent le 5 avril 2013 à l’auditorium du Palais des Beaux-Arts de Lille un colloque consacré à Victor Mottez (1809-1897). Cinq communications sont annoncées :
Mme Henel, Présentation de Victor Mottez et de son œuvre 
Mme Reynier-Labbé, Victor Mottez et Urbain Le Thierry
Mme Guillot, Victor Mottez et les fresques de la rue Vantroyen
Mme Moyne, Victor Mottez et l’art du vitrail
M. Gennaro Toscano, Victor Mottez et les primitifs italiens
 
Assemblee générale
 
 Dans la deuxième partie de sa réunion, il a été procédé à l’Assemblée générale de la Commission. Après présentation du rapport d’activités et du rapport financier adoptés à l’unanimité, il a été procédé aux élections pour le renouvellement du Conseil d’administration. Ont été élus à l’unanimité (35 membres présents et 5 pouvoirs) : Martine Dumont, Chantal Dhennin, Frédéric Faucon, Philippe Guignet, Christiane Lesage, Philippe Marchand, Philippe Masingarbe, Patrick Oddone, Hervé Passot, Ludovic Pesant, Marc Petit, Michel Tomasek. 

Une partie de la commission administrative
bureau de la commission historique du Nord
 



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